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Toujours aussi politique [que Taqawan], Oyana est en revanche plus poétique, porté par une écriture sèche, parfois abrupte, qui fait mouche à chaque coup qu’elle porte.152 pages qui passent en un instant, comme un voyage suspendu, vraiment, ce serait dommage de ne pas embarquer.— CHA(T)PITRES, 28 juin 2019