EUSKANADA !

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Toujours aussi politique [que Taqawan], Oyana est en revanche plus poétique, porté par une écriture sèche, parfois abrupte, qui fait mouche à chaque coup qu’elle porte.
152 pages qui passent en un instant, comme un voyage suspendu, vraiment, ce serait dommage de ne pas embarquer.

— CHA(T)PITRES, 28 juin 2019

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https://chatpitres.blogspot.com/2019/06/oyana-de-eric-plamondon-euskanada.html?fbclid=IwAR32PNDrzUUuyo2EFwxYnMDxSZnlyQvVa0rvc4250e4o-ds91kn55MI-g6w