Deux premiers tomes d’une trilogie consacrée à Johnny Weissmuller, Richard Brautigan et Steve Jobs – même si, à vrai dire, le propos de ces textes ne se laisse pas si aisément condenser. Écrits dans un mode butinant et discontinu, ces deux petits romans constituent un bel exemple de dérapage contrôlé. On voit parfois poindre le jupon du procédé, mais ça ne gâche pas l’effet d’ensemble, que préserve une écriture nerveuse.
– Nicolas Dickner, collaboration spéciale, La Presse, 8 juillet 2012.