« Certaines plumes font des manières, prennent leur temps, s’épanouissent dans l’image et l’implicite. D’autres s’épargnent toutes ces fioritures et vont immédiatement tailler dans le vif, découper les tranches les moins reluisantes du réel et les exposer au regard stupéfait de leurs lecteur·rice·s. Celle d’Éric Plamondon fait partie de la seconde catégorie. »
Par Capucine Delattre · 22 octobre 2019