Il est temps que je le dise : Taqawan est un roman d’action, un roman noir, presque un polar, sous des allures de western eastern moderne ! Avec une victime (une jeune fille Mi’gmaq violentée et re-violentée), un affreux traître, et un trio de justiciers aussi dissemblables que déterminés. Le final n’a rien a envier en violence angoissante àDélivrance de Dickey/Boorman (un chapitre intitulé Némésis dans Taqawan).
200 pages intenses, indispensables.
Le blog de tilly, 30 décembre 2017